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Né à Milan (Italie), Cesare Capitani est diplômé de l’École du Piccolo Teatro, créée par Giorgio Strheler. En 1998, il écrit Rhapsodie, pièce théâtrale primée au concours Vallecorsi de Pistoia ainsi que plusieurs nouvelles, dont certaines seront primées à différents concours littéraires italiens. La même année, il vient à Paris et décide de s’y installer.
Comédien, il joue Penthésilée de H. Von Kleist, Hamlet et Roméo et Juliette de W. Shakespeare, La Fausse Suivante de Marivaux, Quai Ouest de B. M. Koltès, Le Fascinant Anton Pavlovic de G. Prosperi, Plaza Suite de N. Simon. Il met en scène La Traversée de la Nuit de G. de Gaulle-Anthonioz et Pinocchio qu’il adapte du conte de Carlo Collodi. Il est l’auteur et l’interprète principal de Moi, Caravage, inspiré du roman La Course à l’Abîme de Dominique Fernandez.
Il est l'auteur de deux livres sur Galilée. Et le Moi, Caravage, a été traduit en Italien sous le titre Io, Caravaggio.
Cesare Capitani
Cesare Capitani dans "Io, Caravaggio" au festival d'Asti.
Cesare Capitani dans "Io, Caravaggio" au festival d'Asti.
Cesare Capitani dans "Io, Caravaggio" au festival d'Asti.
Médinitalia de et par Cesare Capitani
Médinitalia de et par Cesare Capitani
Cesare Capitani - lecture Galilée/Caravage
Le jeudi 17 octobre 2024
Espace TriArtis
19 rue Pascal - 75005 Paris
Participation aux frais 10€
Réservation par téléphone au 06 71 54 63 63 ou par mail
Le dimanche 19 novembre 2023
Espace TriArtis
19 rue Pascal - 75005 Paris
Participation aux frais 10€
Réservation obligatoire par téléphone au 06 71 54 63 63 ou par mail
Le jeudi 14 mars 2019
MALAVIKA
8 rue BICHAT - 75010 Paris
20€
Réservation indispensable par téléphone au 01 42 40 40 97
Le dimanche 03 mars 2019
Espace TriArtis
19 rue Pascal - 75005 Paris
Participation aux frais 10€ - étudiants 8€
Réservation par téléphone au 09 51 74 96 29 ou par mail
Du mardi 12 février 2019 au dimanche 17 février 2019
OFF/OFF Théâtre, Via Giulia 20, Roma, Italia
Réservations : biglietteria@off-offtheatre.com / +39 06 89239515
Le dimanche 20 janvier 2019
Espace TriArtis
19 rue Pascal - 75005 Paris
Participation aux frais 10€ - étudiants 8€
Réservation par téléphone au 09 51 74 96 29 ou par mail
Le mercredi 17 octobre 2018
Espace TriArtis
19 rue Pascal - 75005 Paris
Participation aux frais 10€ - étudiants 8€
Réservation par téléphone au 09 51 74 96 29 ou par mail
Le jeudi 19 avril 2018
Institut Culturel Italien
Réservation auprès de l'Institut
Du mardi 21 novembre 2017 au dimanche 26 novembre 2017
Teatro Franco Parenti de Milan
Informations et réservation sur le site du théâtre : teatrofrancoparenti.it
Du mercredi 11 janvier 2017 au dimanche 12 mars 2017
Le Lucernaire
53 rue Notre Dame des Champs - 75006 Paris
du mardi au samedi (le mardi en Italien)
Le mercredi 30 novembre 2016
Théâtre Alexandre Dumas - salle Tati - Saint-Germain-en-Laye
Le vendredi 04 novembre 2016
Espace Culturel du Château des Rochers - Nogent-sur-Oise
Le samedi 10 septembre 2016
Théâtre le Nantholia à Nantheuil
Réservations : 06 86 73 58 05
Du mercredi 13 janvier 2016 au samedi 12 mars 2016
Lucernaire
53 rue Notre Dame des Champs - 75006 Paris
Réservation : 01 45 44 57 34
Tarif réduit (16 € au lieu de 26 € en se réclamant de TriArtis
Du mercredi 14 octobre 2015 au samedi 28 novembre 2015
Lucernaire
53 rue Notre Dame des Champs - 75006 Paris
Réservation : 01 45 44 57 34
[...]cet ouvrage bref est une excellente introduction à son œuvre, proposant parfois de surprenantes observations sur sa peinture et les aléas de sa descente en enfer.[...]
[...]J'ai beaucoup aimé découvrir l'homme en même temps que le peintre. L'homme beaucoup plus sombre que le peintre. Car il ne faut pas vous le cacher, c'est un être torturé, à l'âme un peu damnée. Un artiste oui, mais aussi un voyou, voire un criminel. Sa vie est en fait, assez misérable tout comme sa fin. Était-ce le prix à payer pour son talent ? Pour être honnête avec vous, à chaque évocation d'un tableau (et cela arrive très souvent dans le récit), je tapais le titre sur internet pour pouvoir découvrir ou redécouvrir le chef d'œuvre et mieux comprendre encore l'histoire racontée par Cesare Capitani. Passionnant ![...]
[...]C'est dense, haletant, passionnant[...]
Retrouvez d'autres critiques de Moi, Caravage sur Babelio.
Le 24 février 2017
Article sur A bride abattue
[...]Dans la salle, la lumière diminue et le noir se fait. Apparait alors à jardin une forme humaine encapuchonnée d’une bure sombre qui porte l’unique source de lumière, une bougie blottie entre ses mains.
Le spectre vivant se déplace en chantant d’une voix douce et triste. Dans cette ambiance Arte Povera surgit soudain un personnage sur le devant de la scène. Personne n’en doute, c’est le Caravage réincarné. Il s’impose d’emblée tout en sensualité, sa chemise de peintre largement ouverte sur son torse, manches bouffantes, pantalon court et pieds nus.
[...]La scène est baignée de ce clair-obscur si cher à Caravage. Nous rentrons dans un de ses tableaux. C’est un autoportrait d’un réalisme fascinant qui nous est offert par Cesare Capitani. Dans la pénombre, l’éclairage des bougies ou des rais de lumière projetés sur le corps de l’acteur permettent à la sensualité érotique du Caravage d’éclore pleinement.
Le 18 février 2017 par Catherine Schwaab
Article dans Paris Match
Le 15 janvier 2017 par Gérald Rossi
Article sur l'Humanité.fr
Cesare Capitani, mis en scène par Stanislas Grassian incarne le peintre insoumis dont Dominique Fernandez a dressé un brûlant portrait qui sert de trame à cette poursuite.[...]
[...]Sur le plateau, avec un minimum d’accessoires, il ne s’agit pas de mimer mais de faire vivre. Nuance. Donc, pas de toile, de chevalet ou de pinceau. Juste des mots, des regards, des geste. Et quelques bougies. Dans une lumière (Dorothée Lebrun) au tempo. Le récit, comme un fleuve chargé de colères, trace sa route. Les passions submergent les rives. Jusqu’au dernier souffle. Pour une leçon d’émotions.
Le 21 janvier 2017 par Stanislas Claude
Article sur Publikart.net
Le Lucernaire laisse carte blanche à Cesare Capitani pour une pièce tout en clair obscur. En mettant en lumière l’existence brève mais intense d’un des peintres majeurs de la Renaissance, le metteur en scène et comédien italien privilégie l’épure et l’évocation pour un vrai jeu d’acteur. La vie est l’oeuvre de Caravaggio se dévoilent pendant 1h15 d’un spectacle captivant. La voix puissante du comédien et les airs italiens fredonnés par la comédienne donnent des airs de cathédrale à une confession tantôt truculente tantôt tragique. De quoi donner envie de découvrir à nouveau les chefs d’oeuvre du peintre italien.[...]
[...]La salle remplie jusqu’au plafond a réservé un triomphe aux deux protagonistes. Ce Moi, Caravage ravira les amoureux de peinture et de prestations enflammées. De quoi repenser à cette pièce de longues heures après sa fin.
Janvier 2017 par Olivier Frégaville-Gratian d'Amore
Article sur ATTITUDE LUXE
Entre ombre et lumière, Cesare Capitani nous plonge dans la vie trépidante et tumultueuse du Caravage. En adaptant le fascinant roman de Dominique Fernandez, La Course à l’abîme, il nous entraîne au plus prés de ce génie incompris de la peinture. Il en dessine les moindres traits, les plus petites failles. Flamboyant, outrancier, provocateur, il a peint comme il a aimé, comme il a vécu, sans limite, sans retenue. Époustouflant ![...]
Le 22 janvier 2017 par Véronique Tran Vinh
Article sur Théâtre – Spectacles – Des mots pour vous dire
[...]Par son jeu à la fois expressif et sensuel, Cesare Capitani ressuscite magnifiquement le Caravage. Mais un Caravage inattendu, étonnamment humain, dont il fait ressortir la personnalité complexe : un homme à l’âme torturée, mais aussi un jouisseur se livrant à ses pulsions charnelles ; un artiste insoumis, persécuté par l’Église, mais qui fut soutenu par le pouvoir en place… Le choix d’une femme pour jouer ses amants successifs apporte au propos une touche de douce sensualité.
Ce spectacle est une plongée dans l’univers fascinant d’un créateur dont la vie et l’œuvre sont enchevêtrées, conservant tout leur potentiel de mystère.[...]
Le 20 janvier 2017 par Frédéric Arnoux
Article sur THEATRAUTEURS
Ce n’est pas un spectacle nouveau qui se donne actuellement dans la salle Rouge du théâtre du Lucernaire, puisqu’il a débuté en 2010, mais pour autant, cela reste une nouveauté pour tous ceux qui ne l’ont encore vu.
Dans une adaptation de lui-même de l’ouvrage de Dominique Fernandez, paru en 2002, « La Course à l’abîme », Cesare Capitani donne à voir et à entendre la vie triste et chaotique de Michelangelo Merisi, dit Le Caravage, peintre italien né en 1571 à Milan et mort à Port Ercole en 1610. [...]
[...]C’est là une jolie prouesse de théâtre que suggérer la peinture, et donner au public d’entrapercevoir, par fragments, les tableaux, souvent fort grands, que Caravage a peints.
Ce spectacle, osons le jeu de mots, joue sur plusieurs tableaux, et il importe vraiment d’aller l’applaudir. L’oeuvre littéraire de Dominique Fernandez, foisonnante, y est rendue dans l’essentiel de la vie de son héros, avec ses excès et ses faiblesses, son peu d’espoir et ses blessures profondes.
Le 16 janvier 2017 par Sabine Aznar
Article sur PianoPanier.com
C’est l’histoire du peintre Michelangelo Merisi, dit Caravage (d’où vient ce nom ? réponse dans le spectacle, parmi de nombreuses autres anecdotes passionnantes). L’histoire de sa vie, depuis sa naissance jusqu’à sa mort. Comme elle fut passionnante et survoltée cette vie ! Personnage incroyablement romanesque, Caravage était un rebelle, une sorte d’écorché vif, un homme fougueux, toujours passionné, parfois violent, jamais paisible. Sa vie trépidante fut jalonnée d’aventures amoureuses avec des femmes, des hommes, des prostituées, des voyous…qui souvent lui servirent de modèles. L’existence du Caravage prit fin brusquement, dans des conditions qui demeurent obscures, à l’image de ses toiles qui marquèrent un tournant dans la peinture du XVIIe siècle.[...]
Le 16 janvier 2017 par Magali Sauteuil
Article sur TouteLaCulture.com
Le Caravage, ce fameux peintre du XVIIème siècle italien, cet artiste maudit tantôt adulé, tantôt détesté, a mené une vie telle qu’elle méritait bien une pièce de théâtre ! Pour découvrir la destinée tragique de Michelangelo Merisi, dit Il Caravaggio, rendez-vous jusqu’au 12 mars 2017 au Lucernaire ! [...]
[...] Si vous avez quelques lacunes en histoire de l’art, n’ayez crainte ! Si les amateurs d’art auront sûrement plaisir à revoir des tableaux qu’ils connaissent déjà sous un autre angle, les autres auront sans doute envie de les découvrir après avoir vu cette pièce. Ne ratez donc pas cette chance inespérée de pénétrer dans l’intimité de cet artiste maudit qu’est le Caravage.
Le 12 janvier 2017
Article sur Coup de théâtre
[...]Cesare Capitani, très inspiré par la biographie rédigée par Dominique Fernandez (« La Course à l’abîme » éditée chez Grasset), met à nu sa vie sulfureuse avec un talent remarquable. Bien entendu, je pourrai vous la conter par le détail. Je préfère sans tarder vous inviter à rencontrer Caravage en personne au Lucernaire car Caravage, c’est lui, c’est Cesare Capitani. Sa force d’interprétation atteint le summum de l’exceptionnel.
Quant à la mise en scène de Stanislas Grassian, elle est stupéfiante de beauté et de réalisme : les tableaux du maître naissent fugacement sous nos yeux. Laetitia Favart, qui joue tour à tour une multitude de personnages, est talentueuse à souhait. Quant aux jeux de lumière, ils sont sublimes de magnificence.[...]
Le 31 octobre 2015 par Gilbert Jouin
Article sur Critikator
[...]Une fois encore Cesare Capitani m’a emmené au ciel. Au propre comme au figuré car comment ne pas s’envoler dans le cosmos lorsqu’on a le plaisir et le privilège de partager un peu plus d’une heure avec un passionné comme Galilée…
Déjà, quand il avait dépeint la vie ô combien tumultueuse du peintre Caravage, il m’avait enthousiasmé et ému par sa totale implication. Il récidive cette fois mais dans un registre diamétralement différent. Ici, il n’est plus question de folie, de débauche et d’excès en tout genre, nous sommes dans une rigueur toute mathématicienne. Et ce portrait va encore plus loin car il dénonce aussi les dysfonctionnements spirituels d’une époque…[...]
Le 15 octobre 2015 par Richard Magaldi-Trichet
Article sur www.theatreactu.com
JE SUIS GALILEE…
Au cinéma on appellerait ça un « biopic ». Qui est l’auteur de la célèbre phrase « Et pourtant elle tourne… » ? Voici donc l’histoire de cet autre Galilée, dont la trajectoire humaine trouve aujourd’hui de bien étonnantes résonances.
Dans une lumière douce et intime dessinée par Dorothée Lebrun, les quelques éléments scéniques choisis par Ségolène Denis (une tenture, un chandelier, un panier de pommes, quelques feuilles manuscrites…) nous transportent aussitôt dans un autre temps, un autre espace. Cesare Capitani, après un très remarqué Caravage, campe ici un Galilée auquel on adhère dès la première apparition : habillé d’une sobre tunique imaginée par Vjollce Bega, il déroule son texte avec conviction et assurance, à peine rythmé par une pointe d’accent italien qui nous le rend définitivement crédible.[...]
Octobre 2015
Article sur www.froggydelight.com
[...]Comédien émérite, passionné et subtil à la présence charismatique, Cesare Capitani réussit une exceptionnelle et fascinante prestation qui emporte le public à la rencontre d'un homme en résistance.