Recherche sur le site
Biographie Les événements La critique Les photos
Une fois sortie de l’École de la Rue Blanche, elle rencontre Marguerite Duras, crée le rôle d’Agatha, au théâtre de la Criée, au théâtre du Rond Point, au théâtre de la condition des soies à Avignon…
Elle joue ensuite dans une vingtaine de pièces de théâtre, du Genet, du Racine, du Claudel, du Ibsen mais aussi du Murray Schisgal, du Molière ou du Feydeau… Elle joue dans « Norma Jean », une adaptation de « Blonde » de Joyce Caroll Oates écrite et mise en scène par John Arnold, dans « La maison et le zoo » de Edward Albee au théâtre du Rond Point.
Pour le cinéma et la télévision elle a tourné dans une trentaine de films, alternant les rôles principaux et les rôles secondaires, avec à ses débuts, des réalisateurs tels que Claude Sautet ou Roger Andrieux, puis Michel Mitrani, Jacob Berger, Marc Angelo, Arnaud Sélignac, Jean-Daniel Verhaegue, Christophe Barraud, Dominique Ladoge, Sophie Révil et les tout jeunes Sharriar Shandiz et Virginie Verrier.
En 2016, Denoël publie son premier roman, « Un si long chemin jusqu’à moi » salué par la critique.
Elle est lauréate du Prix Matmut du 1er roman 2016.
En 2014, après avoir été lauréate du festival du Paris des femmes, sa pièce « Je ne serai plus jamais vieille » est montée par Jean-Louis Martinelli, au Théâtre des Mathurins, avec Christine Citti.
Ses autres pièces ont été sélectionnées dans plusieurs festivals de jeunes auteurs (Grignan, Avignon, Bruxelles…).
Sa pièce « Le petit dessin de Picasso » a reçu le soutien pour l’édition et la production de l’association Beaumarchais.
Sa pièce « Savoir » est en cours de production.
Visiter son blog.
essayage du costume chez le créateur Franck Sorbier
Du mercredi 15 mars 2017 au dimanche 07 mai 2017
Le Lucernaire
53 rue Notre Dame des Champs - 75006 Paris
Si vous vous recommandez des éditions TriArtis, vous pouvez avoir des places à 14€ du 11 au 20 janvier et des places à 16€ sur le reste de l'exploitation.
Les réservations se font impérativement par téléphone au 01 42 22 66 87 ou par email : du lundi au vendredi.
Le 13 avril 2017 par Gilles Costaz
Article sur webtheatre.fr
Il y a deux Marie-Antoinette dans l’Histoire, il y en a deux derrière le voluptueux sourire de Fabienne Périneau, délicieuse comédienne trop rare sur les planches et qui nous offre cette autobiographie parlée de « l’Autrichienne ».[...]
Le 7 avril 2017 par Christophe Barbier
Article sur L'Echarpe Rouge
Il y a deux Marie-Antoinette dans l’Histoire, il y en a deux derrière le voluptueux sourire de Fabienne Périneau, délicieuse comédienne trop rare sur les planches et qui nous offre cette autobiographie parlée de « l’Autrichienne ».[...]
Le 2 avril 2017 par Elvire Debord
Interpréter Marie-Antoinette pendant plus d’une heure et quart seule en scène est une véritable gageure, d’autant que le sujet pourrait ne rallier qu’un public averti.
Il faut reconnaître cependant que le pari est brillamment réussi.
Tiré de la correspondance privée de Marie-Antoinette réunie dans l’ouvrage d’Evelyne Lever (édité chez Tallandier en 2005) et mis en scène par Sally Micaleff, le spectacle devient une véritable performance théâtrale grâce au talent de Fabienne Périneau.
Uniquement composé de lettres écrites par Marie-Antoinette elle-même, le récit, porté par un décor épuré qui s’efface au profit de la sublime et solaire Fabienne Périneau, nous fait entrer dans l’intimité de Marie-Antoinette à travers un texte chronologique balayant sa vie depuis son mariage (1770 – elle avait 15 ans) jusqu’à sa mort, le 16 octobre 1793.
Je tire mon chapeau à la comédienne que j’ai trouvée remarquable de justesse dans son interprétation et de réussir à nous faire vibrer aux affres, espoirs, attentes d’une Reine mariée si jeune, et qui, dénuée de toute expérience et pouvant paraitre frivole ou superficielle dans les premières années de son mariage, deviendra une Reine digne, aimant son époux, fidèle à ses côtés aux heures les plus sombres, et tentant désespérément de sauver la Monarchie.
Sa dernière lettre, écrite depuis son cachot à 4h30 et adressée à Madame Elisabeth, sœur de Louis XVI, quelques heures avant d’être guillotinée, est absolument bouleversante « C’est à vous, ma sœur, que j’écris pour la dernière fois : je viens d’être condamnée non pas à une mort honteuse, elle ne l’est que pour les criminels, mais à aller rejoindre votre frère, comme lui, innocente, j’espère montrer la même fermeté que lui dans ces derniers moments.(…) Je meurs dans la religion catholique, apostolique et romaine, dans celle de mes pères, dans celle où j’ai été élevée, et que j’ai toujours professée ; (…)Adieu, ma bonne et tendre sœur ; puisse cette lettre vous arriver! Pensez toujours à moi ; je vous embrasse de tout mon cœur, ainsi que ces pauvres et chers enfants : mon Dieu ! qu’il est déchirant de les quitter pour toujours. »
Ce spectacle est d’autant plus formidable qu’il ne s’agit pas d’une lecture mais bien d’une interprétation.
A voir et ne pas manquer. C’est en ce moment au Lucernaire, dans le 6ème arrondissement.
"Une Marie-Antoinette troublante face aux affres de l’histoire de France sur la scène du lucernaire.
Marie-Antoinette est un one-woman show qui fait se pousser les spectateurs au fond de leurs sièges. La tension monte crescendo avec une interprétation habitée qui justifie des applaudissements finaux nourris !"
Publik'Art
Le 20 mars 2017
Article sur Le blog de Phaco
A la fois tragédie intime et politique, Marie-Antoinette, correspondances privées évoque un des personnages féminins les plus controversés de l’Histoire. Interprété au Théâtre Rouge par Fabienne Périneau et mis en scène par Sally Micaleff d’après un texte de l’historienne Evelyne Lever, le spectacle convainc par son portrait psychologique tout en nuances.[...]
"Une Marie-Antoinette troublante face aux affres de l’histoire de France sur la scène du lucernaire.
Marie-Antoinette est un one-woman show qui fait se pousser les spectateurs au fond de leurs sièges. La tension monte crescendo avec une interprétation habitée qui justifie des applaudissements finaux nourris !"