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affiche de l'événement

Spectacle

Casanova, le pardon

Du mercredi 19 juin 2019 au dimanche 11 août 2019 du mardi au samedi à 19h les dimanches à 16h

Le Lucernaire
53 rue Notre-Dame-des-Champs - Paris 6

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Le Lucernaire
53 rue Notre-Dame-des-Champs - Paris 6

Tarif spécial TriArtis 16 euros au lieu de 22.
Réservations auprès de Livia 01 42 22 6 87 ou par email : relations-publiques@lucernaire.fr du lundi au vendredi de 9h à 17h.

du mardi au samedi à 19h les dimanches à 16h

Pièce de Christian Rome publié sous le titre "Casanova la nuit de Dresde".

Le sulfureux Giacomo Casanova rend visite à sa mère, la toujours séduisante actrice Zanetta Farussi.
Ils n’ont pas partagé beaucoup de temps ensemble et se connaissent à peine ; pourtant, ils se ressemblent. Tous deux ont pour habitude de hasarder leur vie comme on joue sa fortune à une table de jeu.
Maîtres dans l’art de l’intrigue, ils se cherchent, se découvrent et s’affrontent autour de confidences qui expriment leurs frustrations et désirs secrets.
Sur ces âmes blessées, en quête d’éternel amour, planent la mélancolie des choses finissantes et l’ombre de la mort.

Téléchargez le dossier de presse.


photo de l'événement

"Casanova, le pardon" au Lucernaire
en 2019 - copyrignt Pascal Cadiou

photo de l'événement

"Casanova, le pardon" au Lucernaire
en 2019 - copyrignt Pascal Cadiou

photo de l'événement

"Casanova, le pardon" au Lucernaire
en 2019 - copyrignt Pascal Cadiou

Zanetta

Et toi ? Parle-moi de toi ! En dehors de tes maîtresses, as-tu des amis ? On dit que tu as fréquenté de beaux esprits. Ce Monsieur de Voltaire, comment est-il ?

Giacomo

Un philosophe... De bonnes idées, mais pas toujours en accord avec ses actes. Enfin, courageux quand même, il ne craint pas de s’attaquer aux puissants.

Zanetta

Toi aussi, on dit que tu passes ton temps à les défier, les puissants. Ce n’est évidemment pas la meilleure façon de se faire des amis.

Giacomo

Des amis ?... Il n’y a pas d’amis, mère, seulement des alliances, qui se font et se défont au gré des circonstances. La vie n’est qu’un rapport de force, c’est un jeu, comme le trictrac ou le piquet. On gagne, on perd, on joue, on triche. Je ne crois pas à l’amitié.

Christian Rome

Christian Rome

Romancier, nouvelliste, dramaturge, Christian Rome a d’abord exercé une activité de musicien professionnel, avant d’étudier le cinéma avec Jean Serres (CLCF- Section réalisation) et le jeu de l’acteur avec Madeleine Sherwood (Actors’ Studio). Dans les années 70, il travaille quelques temps comme assistant, notamment de Jean Seberg, Pierre Jallaud, Miron Nicolescu, et enseigne l’art dramatique et l’écriture de scénario dans diverses institutions (Studio 7, FR3 Formation) avant de se consacrer entièrement à l’écriture.

Depuis les années 2000, il participe au travail de plusieurs revues (Quelques mots, Chemins de Traverse, CinéScopie), dirige le comité de lecture des Editions Bérénice et la collection Roman aux Editions de l’Ours Blanc. En parallèle, il exerce le métier de consultant formateur pour l’accompagnement de projets et la réinsertion de public artistes. Aujourd’hui, en dehors de ses activités littéraires, il anime régulièrement des stages, des ateliers d’écriture et des formations à l’écriture de scénario.

Auteur d’une quarantaine de nouvelles en revues et ouvrages collectifs chez plusieurs éditeurs et d’une chronique régulière sur le cinéma dans la revue Chemins de Traverse, il a notamment publié :

Romans

La Danse du Jaguar (2001, Ed. Bérénice)
L’Ecran déchiré (2004, Ed. Bérénice)
L’Heure du Poète (2011, Ed. de l’Ours Blanc)

Poésie

L’Heure injuste (2004, Poésie - Ed. La Passe du vent)

Essai

L’Impulsion et le geste (2006, Ed. Bérénice)

Nouvelles

La Phrase de sa vie et autres nouvelles (2007, Ed. de l’Ours Blanc)
Une rafale d’éternité (2004, La Mare aux livres)
Une journée dans la vie de GL (2005, La Mare aux livres)
Ils se sont tant aimés (2012, La Cause des livres)
Nouvelles d’en ville (2013, Editions de Janus)
Le petit train des gueules cassées (2014, Editions de l’Ours Blanc)
Vertige dans le recueil Souvenirs du Quartier latin (2016, Editions Pippa) Lauréat du prix de la nouvelle du Salon des Editeurs indépendant du Quartier Latin.

Théâtre

Dans les années 80, dans le cadre du Studio 7, il adapte, produit et met en scène :

Le Monte-plat d’Harold Pinter
Les Revenants d’Henrik Ibsen
Peinture sur bois (d’après le Septième sceau d’Ingmar Bergman)
Parle-moi comme la pluie (T. Williams)
Propriété condamnée (T. Williams)

Production

Toi et tes Nuages d’Eric Westphal (1985, Studio 7- Théâtre de la Porte de Gentilly)

Pièces originales

Carrefour des Trois Croix (non publié)
Casanova, la nuit de Dresde

« Casanova, Le Pardon » au Lucernaire, nous y étions !

La Parisienne Life - 29 Juin 2019 par Steph Musicnation

L’auteur Christian Rome propose dans son œuvre de découvrir Casanova sous un angle nouveau et c’est l’une des grandes forces de « Casanova, Le Pardon » car beaucoup de choses ont déjà été faites sur cette grande figure historique Vénitienne. [...]

Lire l'article sur www.laparisiennelife.com.

www.lepetitmondedenatieak.com

26 juin 2019

C'est à Dresde en Allemagne que Casanova rend visite à sa mère, la sublime actrice Zanetta Farussi. En ce soir d'hiver 1770, le temps orageux va l’être tout autant durant ces retrouvailles où les confidences et les révélations vont faire remonter de nombreux souvenirs : telle est l'histoire vraie, un brin romancée dans la pièce Casanova le pardon : je n'ai pas résisté à l'envie de la découvrir, mais m'a-t-elle conquise ?[...]

Lire l'article sur www.lepetitmondedenatieak.com.

www.arts-chipels.fr

19 juin 2019 - par Sarah Franck

[...]Ils ne sont pas d’une pièce, les personnages brossés par Marie-Christine Adam et Alain Sportiello qui campe un Casanova plutôt musclé, un peu brut, loin de l’homme de cour qu’on pourrait attendre. Ils sont tout en ruptures et en volte-face. Un mélange de force et de faiblesse, d’authenticité et de rouerie, de fierté et de désespoir, de révoltes et d’abandons. Ils donnent aussi à voir, dans leurs parcours parallèles, ce qui différencie l’homme de la femme : le statut que leur accorde la société. Le Casanova en jupons qu’incarne Zanetta n’a jamais eu le choix d’être ce qu’elle est, au contraire de son fils.[...]

Lire l'article en ligne.