Extraits de presse

Christine Murillo se glisse dans la peau de Pauline Carton (1884-1974), actrice adulée par Sacha Guitry, soubrette préférée du cinéma d’antan, esprit vif qui croquait ses contemporains d’un joli coup de plume. Une comédienne habitée par le théâtre. D’une humanité telle qu’elle donne envie, de temps à autre, de fondre en larmes.

Joëlle Gayot - Le Monde

Charles Tordjman rend hommage à l’illustre actrice des années 1930. Seule en scène, l’irrésistible Christine Murillo ravive la mémoire de Pauline Carton. On ne sait qui vénérer, de la comédienne ou de son double.

Callysta Croiser Les Echos

Réjouissant, caustique et drôlissime monologue qu’incarne à ravir la Murillo, avec sa gouaille, son intelligence de jeu et sa générosité. Décapant et délirant.

Fabienne Pascaud Télérama TT

Un délice.

Jean-Luc Porquet Le Canard enchaîné

Elle nous raconte sa vie, son métier, ses rencontres… c’est toute une époque qui défile devant nous. Carton ayant pratiqué le music-hall et l’opérette, Murillo pousse aussi la chansonnette.

Isabelle Fauvel La Vie

Une actrice de génie.

Armelle Héliot Le Masque et la Plume

Ce travail remarquable d’intelligence, de poésie et de drôlerie célèbre une grande dame mais également le théâtre dans toute sa beauté.

Marie-Céline Nivière L’Oeil d’Olivier

Un moment décalé, rempli d’humour et de gentillesse.

Gérald Rossi L’Humanité

La servante, dit-on, décourage les fantômes de venir la nuit hanter les théâtres. A l’avant-scène il y a une autre servante, Christine Murillo, allumée pendant tout le spectacle, qui convoque les fantômes d’un théâtre disparu pour exprimer la joie éternelle d’être sur scène, la magie renouvelée de la représentation théâtrale.

François Morel France Inter

Pauline et Christine dans le même bateau ? On embarque.

Nathalie Simon Le Figaro