Par Monts et par bois

Le livre

La forêt de Fontainebleau sauvage, parfois inquiétante, « lieu de visions étranges et d’émotions fortes, était le Paradis des grands romantiques... » Le critique d’art Théophile Thoré et son ami le paysagiste Théodore Rousseau arpentent les futaies du lever du soleil au coucher de la lune. A la manière colorée du peintre, Théophile Thoré évoque sur le vif la beauté singulière et éphémère de la nature. Il s’insurge contre la coupe des arbres qui étaient autant de repères familiers de leurs promenades préférées, comme on pourrait le faire aujourd’hui.