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Romancier, nouvelliste, dramaturge, Christian Rome a d’abord exercé une activité de musicien professionnel, avant d’étudier le cinéma avec Jean Serres (CLCF- Section réalisation) et le jeu de l’acteur avec Madeleine Sherwood (Actors’ Studio). Dans les années 70, il travaille quelques temps comme assistant, notamment de Jean Seberg, Pierre Jallaud, Miron Nicolescu, et enseigne l’art dramatique et l’écriture de scénario dans diverses institutions (Studio 7, FR3 Formation) avant de se consacrer entièrement à l’écriture.
Depuis les années 2000, il participe au travail de plusieurs revues (Quelques mots, Chemins de Traverse, CinéScopie), dirige le comité de lecture des Editions Bérénice et la collection Roman aux Editions de l’Ours Blanc. En parallèle, il exerce le métier de consultant formateur pour l’accompagnement de projets et la réinsertion de public artistes. Aujourd’hui, en dehors de ses activités littéraires, il anime régulièrement des stages, des ateliers d’écriture et des formations à l’écriture de scénario.
Auteur d’une quarantaine de nouvelles en revues et ouvrages collectifs chez plusieurs éditeurs et d’une chronique régulière sur le cinéma dans la revue Chemins de Traverse, il a notamment publié :
Romans
La Danse du Jaguar (2001, Ed. Bérénice)
L’Ecran déchiré (2004, Ed. Bérénice)
L’Heure du Poète (2011, Ed. de l’Ours Blanc)
Poésie
L’Heure injuste (2004, Poésie - Ed. La Passe du vent)
Essai
L’Impulsion et le geste (2006, Ed. Bérénice)
Nouvelles
La Phrase de sa vie et autres nouvelles (2007, Ed. de l’Ours Blanc)
Une rafale d’éternité (2004, La Mare aux livres)
Une journée dans la vie de GL (2005, La Mare aux livres)
Ils se sont tant aimés (2012, La Cause des livres)
Nouvelles d’en ville (2013, Editions de Janus)
Le petit train des gueules cassées (2014, Editions de l’Ours Blanc)
Vertige dans le recueil Souvenirs du Quartier latin (2016, Editions Pippa) Lauréat du prix de la nouvelle du Salon des Editeurs indépendant du Quartier Latin.
Théâtre
Dans les années 80, dans le cadre du Studio 7, il adapte, produit et met en scène :Le Monte-plat d’Harold Pinter
Les Revenants d’Henrik Ibsen
Peinture sur bois (d’après le Septième sceau d’Ingmar Bergman)
Parle-moi comme la pluie (T. Williams)
Propriété condamnée (T. Williams)
Production
Toi et tes Nuages d’Eric Westphal (1985, Studio 7- Théâtre de la Porte de Gentilly)
Pièces originales
Carrefour des Trois Croix (non publié)
Casanova, la nuit de Dresde
Festival Quartier du Livre 2024
"Casanova, le pardon" au Lucernaire
en 2019 - copyrignt Pascal Cadiou
"Casanova, le pardon" au Lucernaire
en 2019 - copyrignt Pascal Cadiou
"Casanova, le pardon" au Lucernaire
en 2019 - copyrignt Pascal Cadiou
Le jeudi 06 juin 2024
Théâtre Bellecour - 14 rue Trachel 06000 Nice
Infos et réservations : Théâtre Bellecour / Billet réduc
Le jeudi 02 mai 2024
Théâtre Bellecour - 14 rue Trachel 06000 Nice
Infos et réservations : Théâtre Bellecour / Billet réduc
Le jeudi 04 avril 2024
Théâtre Bellecour - 14 rue Trachel 06000 Nice
Infos et réservations : Théâtre Bellecour / Billet réduc
Du mercredi 13 septembre 2023 au jeudi 19 octobre 2023
Théâtre Bellecour - 14 rue Trachel 06000 Nice
Infos et réservations : Théâtre Bellecour / Billet réduc
Du samedi 14 janvier 2023 au samedi 18 mars 2023
Théâtre Espace Marais
22 Rue Beautreillis 75004 Paris
Infos et réservations : Billet Réduc et au théâtre.
Du samedi 05 novembre 2022 au samedi 31 décembre 2022
Théâtre Espace Marais
22 Rue Beautreillis 75004 Paris
Infos et réservations : Billet Réduc et au théâtre.
Du vendredi 18 novembre 2022 au samedi 19 novembre 2022
Le Millénaire
35 rue St Joseph
59110 LA MADELEINE
Réservation par téléphone au O3 20 55 19 51
Du mercredi 19 juin 2019 au dimanche 11 août 2019
Le Lucernaire
53 rue Notre-Dame-des-Champs - Paris 6
Tarif spécial TriArtis 16 euros au lieu de 22.
Réservations auprès de Livia 01 42 22 6 87 ou par email : relations-publiques@lucernaire.fr du lundi au vendredi de 9h à 17h.
L'occasion nous est donnée de découvrir ou redécouvrir pour ceux qui avait assisté à la première mise en scène de la pièce de Christian Rome, un texte à l'écriture élégante et âpre où la confrontation de Giacomo Casanova avec sa mère Zanetta prend l'allure d'un face à face convoquant souvenirs de famille et trajectoire difficile dans la société d'alors. Cette fois-ci, les comédiens, Michèle Boidin et François Rimbau, évoluent dans une mise en scène de Joseph Morana. Le décor est pauvre, dénué de tout artifice, à l'exception des quelques objets qui marquent à leur manière la temporalité de la pièce. Dans cette nuit à Dresde où la mère et le fils en appellent chacun à ce qui le lie encore à l'autre, pointent le manque d'amour, le gouffre, le vide, ressentiment et fascination mêlés. Dans la froideur et l'obscurité, dans le jeu qui se glisse entre eux jusqu'à l'ambiguïté incestueuse, les deux protagonistes, avancent sur la corde raide, le fil du rasoir, de ce qui n'est jamais advenu entre eux deux, par cruauté de l'époque, flamboyance vaine de personnages qui, au fond, jusqu'au bout, resteront des pantins de la vie. Et c'est cette évidence, à l'allure de jeu de massacre par moments, qui donne à la pièce sa tessiture humaine. Les deux âmes perdues se dénudent l'une l'autre, à vif, jusqu'à devenir des âmes mortes, fantômes d'hier qui, alors, rejoindront leur port d'attache. La proximité des deux comédiens, dans l'espace resserré du théâtre Espace Marais, nous les rendent encore plus fragiles et c'est sans doute de cette fragilité là dont est porteuse la pièce, fragilité de toute position sociale qu'on croyait acquise, impuissance face au temps inexorable, et au jeu de miroir dans lequel la vieillesse n'a d'autres ressources que de s'inventer encore une lointaine jeunesse. Pour ces quelques raisons rapidement brossées, allez à la rencontre de Casanova et Zanetta.
La Parisienne Life - 29 Juin 2019 par Steph Musicnation
L’auteur Christian Rome propose dans son œuvre de découvrir Casanova sous un angle nouveau et c’est l’une des grandes forces de « Casanova, Le Pardon » car beaucoup de choses ont déjà été faites sur cette grande figure historique Vénitienne. [...]
Lire l'article sur www.laparisiennelife.com.
26 juin 2019
C'est à Dresde en Allemagne que Casanova rend visite à sa mère, la sublime actrice Zanetta Farussi. En ce soir d'hiver 1770, le temps orageux va l’être tout autant durant ces retrouvailles où les confidences et les révélations vont faire remonter de nombreux souvenirs : telle est l'histoire vraie, un brin romancée dans la pièce Casanova le pardon : je n'ai pas résisté à l'envie de la découvrir, mais m'a-t-elle conquise ?[...]
Lire l'article sur www.lepetitmondedenatieak.com.
19 juin 2019 - par Sarah Franck
[...]Ils ne sont pas d’une pièce, les personnages brossés par Marie-Christine Adam et Alain Sportiello qui campe un Casanova plutôt musclé, un peu brut, loin de l’homme de cour qu’on pourrait attendre. Ils sont tout en ruptures et en volte-face. Un mélange de force et de faiblesse, d’authenticité et de rouerie, de fierté et de désespoir, de révoltes et d’abandons. Ils donnent aussi à voir, dans leurs parcours parallèles, ce qui différencie l’homme de la femme : le statut que leur accorde la société. Le Casanova en jupons qu’incarne Zanetta n’a jamais eu le choix d’être ce qu’elle est, au contraire de son fils.[...]
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